C’est sous forme d’électro pop très bien foutue qu’elle vient nous présenter son album « Endorphine », 10 chansons qui reflètent visiblement bien sa personnalité décomplexée et un caractère bien trempé. Arrangements sobres quand il s’agit de chansons plus intimes, on aimera le coté Stromae pour les orchestrations et le texte ou encore Zaho de Sagazan. Clemix semble dans l’air du temps avec une électro pop fraîche et colorée à s’en décoller le ciel gris et bas du plat pays. Avec le soutien du Plan de Cohésion Sociale et Culturelle de la Ville de GEMBLOUX.

Lionel Solveigh est un troubadour folk. Il collectionne les moments présents et en fait des chansons pour ne pas les oublier. Ces souvenirs partagés sont au coeur de sa musique qui évoque l'amour, l'enfance et les relations humaines. Il sort son premier album, « Home », en 2009 sur le label Humpty Dumpty et parcourt la Belgique la guitare sur le dos. Après une pause de quelques années, il sort son deuxième album « Seven Years Love » en avril 2023. En septembre 2024, il sort « En chemin », un EP qui amorce un virage musical au niveau des textes, désormais en français. Lionel est connu pour ses concerts (plus de 80 au compteur) où ses chansons s'entremêlent d'histoires drôles ou émouvantes. On passe du rire aux larmes, de moments intimistes à des morceaux où le groove fait dodeliner la tête. Il se produit en trio (avec basse et batterie) ou en solo avec une loop station pour créer des paysages sonores inédits. Avec le soutien du Plan de Cohésion Sociale et Culturelle de la Ville de GEMBLOUX.

Désespoir des singes, c’est le nom qu’on donne aux araucarias, arbres-cactus aux feuilles en écailles acérées, mais c’est aussi le nouveau projet indie-folk de Jérôme Paque, auteur-compositeur-interprète, basé à Bruxelles. Sous ce nom francophone en trompe-l’œil se cache un projet chanté en anglais et nourri par les grands noms de la folk anglophone tels les Kings of Convenience ou Nick Drake, mais aussi par Radiohead ou encore Tamino. Désespoir des singes trouve ses racines dans la région de Dinant, souvenir d’enfance où Jérôme croisa la route de cet arbre aussi majestueux que tortueux. Un arbre qui fait figure de véritable symbole du projet : à première vue rêveur et aérien, mais si l’on tend l’oreille, plus sombre et acéré qu’il n’y paraît. En témoigne le premier single Shadows — diffusé sur les ondes de Classic 21 et BX1 — dont une live session tournée au milieu des araucarias est sortie en novembre 2023.

Après avoir travaillé sur de nombreux projets au théâtre et en poésie, Jérôme Paque, musicien autodidacte, se mue pour la première fois en singer-songwriter, nous emmenant dans ses paysages intérieurs doux-amers au gré des observations du monde qui l’entoure. En live, il nous fait découvrir toute sa sensibilité et sa finesse d’interprétation tantôt en solo guitare-voix pour revenir à l’essentiel, tantôt en duo avec la musicienne Raphaële Germser (basse-violon- chœurs), venue renforcer la proposition scénique en 2025.

Désespoir des singes fait ses premières armes en 2024 au centre culturel de Dinant en première partie de Bai Kamara Jr. L’artiste travaille également à la réalisation d’un premier EP à paraître en 2025. Avec le soutien du Plan de Cohésion Sociale et Culturelle de la Ville de GEMBLOUX.

Best Of 2025 avant la sortie de son nouvel album en 2026. L'auteur compositeur Kris Dane présente une anthologie musicale de sa riche carrière internationale, invitant le public à plonger dans l'univers musicale qu'il a créé eu fil des 20 dernières années. Avec sa voix chaleureuse et intime, ses textes poétiques, son jeu décontracté à la guitare acoustique et à l'harmonica, il propose une sélection épurée de ses meilleures chansons. Emouvant, nostalgique et plein de soul. Avec le soutien du Plan de Cohésion Sociale et Culturelle de la Ville de GEMBLOUX.

Formé au conservatoire royal de Bruxelles en tant que comédien, il fonde en 2013 la Vivre en fol Cie avec Manon Romain, sa moitié à la ville comme à la scène.Barnabé écrit pour la Vivre en fol Cie une dizaine de spectacles pour toute la famille mêlant théâtre et chansons qui connaissent assez vite un joli succès un peu partout en Belgique et qui font rêver chaque année des milliers d’enfants.

De Bruxelles à Avignon en passant par la Suisse, Monaco et tous les recoins de la Belgique, il parcourt les routes avec sa troupe à la rencontre de nouveaux publics.

En 2018, Barnabé, Manon et leur équipe posent leur valises à Temploux et font de la Templerie des hiboux, ancien cercle de peinture chargé d'histoires artistiques, un théâtre intimiste et propice a la rencontre et au partage où ils accueillent chaque année près de 10 000 spectateurs.

Parallèlement à la vie de théâtre et de troupe, Barnabé creuse son sillon dans le petit monde de la chanson française.

Jean Litt propose ses chansons à texte métissées. Il relie parole engagée et poésie de nos états intimes avec un flow chanté, entre rap, slam et reggae. Ses textes inspirants sont portés par une musique lumineuse. Avec son groupe, ils nous font voyager à travers différentes teintes de chaleur, les pieds marquant fermement au sol les rythmes et les basses.

Après avoir écumé les scènes des clubs de jazz belges et européens en tant que contrebassiste, Axel Gilain délaisse sa contrebasse et reviens à ses premiers amours, le chant et la guitare. L’envie de prendre les commandes et de s’éloigner de son rôle de side-man apparait déjà en 2013 avec un disque en quartet "Talking to the Mlouk" , encore à la contrebasse, suivi en 2014 du premier album de Kangling "Echoes of Distant Voices » et ensuite de "Graceful Machines" en 2019 et "Dancing on my Own" en 2022.

Axel ouvre aujourd’hui un nouveau chapitre, seul sur scène. Avec l’envie d’aller plus loin, il prends le temps de développer la scénographie et accorde une importance plus particulière à la lumière et à l’écriture du spectacle pour s’y livrer encore plus intimement.

« Slow Motion Scene » est une ode à la lenteur, au dépouillement et à l’imperfection. Le processus de création de cet album et de son spectacle c'est étendu sur une assez longue période et c’est fait sans empressement, avec de longues plages d’écritures et de créations. L’envie de laisser à la page blanche le temps de se remplir, de respecter les silences nécessaires à l’inspiration n’est pas seulement un concept sur lequel cet album c’est crée, c’est un mode de vie. Une fois en studio, pour privilégier la spontanéité, les morceaux ont été enregistrer « live » , en très peu de prises. Le côté brut et minimaliste se décline dans le sonore comme dans le visuel guidé par l’idée que l’erreur, la maladresse, la fragilité sont autant de forces qui nourrissent l’authenticité, l’instantanéité et nous rapprochent les uns des autres. Dans ce monde en quête de perfection où l’on se cache sous des filtres en pointant du doigt chaque défaut, le besoin d’être là, sans artifices est la véritable urgence.

Pour présenter son nouvel album en solo, Axel Gilain dévoile ses morceaux, voix et guitare, ponctués de sons, de pensées et de bouts d’interviews déclenchés sur un lecteur cassette, objet imparfait et nostalgique. Une reconstruction post mortem ou un rêve éveillé durant lequel la lumière, cinématographique, vient découper en scènes ce voyage intimiste baigné de silences et de respirations.

Aristide est un auteur-compositeur-interprète. Ses chansons parlent d’amour, de politique mais aussi de ragots de comptoir. Il assume sur scène une certaine maladresse et met en scène ses concerts qui vont du guitare-voix aux bandes sonores comme de véritables spectacles.